Re: Boîte à bonheur

par bibidochon Sam 27 Fév 2016 - 11:23

Rico73 a écrit:le bonheur, tu le payes le prix fort...dès fois, tu passes ta vie à te battre pour le connaitre et au bout du compte , tu l' as juste caresser .

ça c'est le "bonheur matériel", le petit confort de vie, le bonheur est un état d'esprit, une perception, un moment de grâce, même furtif. On le trouve partout, dans le rire d'un enfant, l'envol d'un oiseau, le bruit du vent dans les arbres, un corbeau blanc sur la plage, un petit moment de bien être, il peut bien entendu être durable si on occulte tout ce qui peut l'entraver, en fait il est différent et propre à chacun...on peut même le trouver entre chaque bataille de (ou pour) la vie, le caresser c'est en trouver un bout déjà.

par Elfie Sam 27 Fév 2016 - 11:37

bibidochon a écrit:
Rico73 a écrit:le bonheur, tu le payes le prix fort...dès fois, tu passes ta vie à te battre pour le connaitre et au bout du compte , tu l' as juste caresser .

ça c'est le "bonheur matériel", le petit confort de vie, le bonheur est un état d'esprit, une perception, un moment de grâce, même furtif. On le trouve partout, dans le rire d'un enfant, l'envol d'un oiseau, le bruit du vent dans les arbres, un corbeau blanc sur la plage, un petit moment de bien être, il peut bien entendu être durable si on occulte tout ce qui peut l'entraver, en fait il est différent et propre à chacun...on peut même le trouver entre chaque bataille de (ou pour) la vie, le caresser c'est en trouver un bout déjà.

par copiercoller Sam 27 Fév 2016 - 11:38

le bonheur c'est sa richesse intérieur, plus ou moins grande, qui trouve un écho dans un moment précis.

par Izibelle Sam 27 Fév 2016 - 11:41

loco a écrit:Pour le trouver il faut le chercher, il est à l’intérieur de chacun de nous.

Elfie a écrit:Le bonheur est un état d'être pas une conséquence.
Rawat

Fury74 a écrit: Le bonheur, on ne le trouve pas, on le fait. Le bonheur ne dépend pas de ce qui nous manque, mais de la façon dont nous nous servons de ce que nous avons.

Du moment que le bonheur, c'est de vivre, on doit le trouver aussi bien dans la douleur que dans le plaisir...

Le bonheur ne vient pas à ceux qui l'attendent assis!
Le bonheur de demain n'existe pas. Le bonheur, c'est tout de suite ou jamais.
Le bonheur est une décision que nous prenons d'être heureux quoi qu'il arrive!
Le bonheur c’est lorsque vos actes sont en accord avec vos paroles.

Picorer tous les petits plaisirs jusqu'à ce que le grand bonheur arrive... Et s'il n'arrive pas, on aura au moins joui de tous les petits bonheurs.

Il faudrait convaincre les hommes du bonheur qu'ils ignorent, alors même qu'ils en jouissent!

La sensation d'être heureux ou malheureux dépend rarement de notre état dans l'absolu (même si l'on peut avoir la sensation que le sort s'acharne sur nous) , mais de notre perception de la situation, de notre capacité à nous satisfaire de ce que nous avons... Créons notre bonheur et vivons chaque petit instant comme un moment de bonheur (apprécions les choses simples quoi)!!!

bibidochon a écrit: On le trouve partout, dans le rire d'un enfant, l'envol d'un oiseau, le bruit du vent dans les arbres, un corbeau blanc sur la plage, un petit moment de bien être,..., en fait il est différent et propre à chacun...on peut même le trouver entre chaque bataille de (ou pour) la vie, le caresser c'est en trouver un bout déjà.

par copiercoller Sam 27 Fév 2016 - 11:46

On ne caresse jamais assez le bonheur, que parfois l'on frôle.

par Pashmina Sam 27 Fév 2016 - 11:50

Vaste sujet évoqué ici.... Mes mots étant trop faibles, je vous laisse avec le dictionnaire, et quelques brillants auteurs.... Vous y trouverez peut être votre bonheur ... Wink

Mon sentiment reste que tout est discutable , et que ce ne sont que quelques tentatives de définition ...

B.− [Au sens large et gén. à la forme abs.]Le bonheur.
1. État essentiellement moral atteint généralement par l'homme lorsqu'il a obtenu tout ce qui lui paraît bon et qu'il a pu satisfaire pleinement ses désirs, accomplir totalement ses diverses aspirations, trouver l'équilibre dans l'épanouissement harmonieux de sa personnalité.

8. ... le bonheur ne consiste point dans des instans isolés d'énergie, de volupté ou d'oubli. Le bonheur est une succession presque continue, et durable comme nos jours, de cet heureux concours de paix et d'activité, de cette harmonie douce et austère qui est la vie du sage. Toute joie vive est instantanée, et dès-lors funeste ou du moins inutile; le seul bonheur réel c'est de vivre sans souffrir, ou, plus exactement encore, être heureux, c'est vivre : tout mal est étranger à la plénitude de la vie, et toute souffrance a pour principe des causes de destruction. La douleur est contraire à l'existence; quiconque souffre ne vit pas pleinement et entièrement; ... Senancour, Rêveries,1799, pp. 91-92.

9. Je suis mécontent de tout le monde parce que je le suis de moi-même. Le bien-être constant, le bonheur consiste dans la possession d'une destinée en rapport avec nos facultés. Si nos facultés étaient quelque chose de constant et de fixe, il serait possible, dans certains cas, d'arranger sa vie de manière que le rapport qui constitue le bonheur se maintînt; mais nos facultés, nos dispositions, notre manière de sentir et de juger la vie changent avec l'âge, pendant que notre situation et nos rapports restent les mêmes, ou vice versa.Comment pourrions-nous jamais être constamment heureux? Maine de Biran, Journal,1814, p. 22.

10. Le bonheur est de sentir son âme bonne; il n'y en a point d'autre, à proprement parler, et celui-là peut exister dans l'affliction même; de là vient qu'il est des douleurs préférables à toutes les joies, et qui leur seraient préférées par tous ceux qui les ont ressenties. Il entre dans la composition de tout bonheur l'idée de l'avoir mérité. Joubert, Pensées,t. 1, 1824, p. 184.

11. Lorsque le rapport avec le monde extérieur nous est agréable, nous l'appelons plaisir; mais cet état passager n'est pas le bonheur. Nous entendons par bonheur un état qui serait tel que nous en désirassions la durée sans changement. Or voyons ce qui arriverait si un tel état était possible. Pour qu'il le fût absolument, il faudrait que le monde extérieur s'arrêtât et s'immobilisât. Mais alors nous n'aurions plus de désir, puisque nous n'aurions plus aucune raison pour modifier le monde, dont le reposnous satisferait et nous remplirait. Nous n'aurions plus par conséquent ni activité, ni personnalité. Ce serait donc le repos, l'inertie, la mort, pour nous, comme pour le monde. (...) Vouloir vivre, c'est accepter le mal. Vous imaginez le bonheur absolu possible, c'est le néant que vous désirez. P. Leroux, De l'Humanité,t. 1, 1840, pp. 19-20.

12. ... j'ai prononcé, au contraire, que le bonheur était un patrimoine universel et indivisible, que nul ne s'appropriait exclusivement sans être coupable de crime d'égoïsme. Entendez donc que le devoir, l'amour, le dévouement, consistent à faire de son bonheur celui des autres, et du bonheur des autres le sien propre, tandis que l'égoïsme consiste à faire son bonheur du malheur de tous. Néron souhaitait que le peuple romain n'eût qu'une tête pour l'abattre d'un seul coup : voilà l'égoïsme. Titus estimait perdre le jour où il avait manqué de rendre un homme heureux : voilà l'amour. Lacordaire, Conf. de Notre-Dame,1848, p. 185.

13. Il y a sur terre de telles immensités de misère, de détresse, de gêne et d'horreur, que l'homme heureux n'y peut songer sans prendre honte de son bonheur. Et pourtant ne peut rien pour le bonheur d'autrui celui qui ne sait être heureux lui-même. Je sens en moi l'impérieuse obligation d'être heureux. Mais tout bonheur me paraît haïssable qui ne s'obtient qu'aux dépens d'autrui et par des possessions dont on le prive. (...). Pour moi j'ai pris en aversion toute possession exclusive; c'est de don qu'est fait le bonheur, et la mort ne me retirera des mains pas grand-chose. (...) Mon bonheur est d'augmenter celui des autres. J'ai besoin du bonheur de tous pour être heureux. J'admirais, je n'ai pas fini d'admirer, dans l'évangile un effort surhumain vers la joie. Le premier mot qui nous est rapporté du Christ, c'est « heureux... » son premier miracle, la métamorphose de l'eau en vin. Le vrai chrétien est celui que suffit à enivrer l'eau pure. C'est en lui-même que se répète le miracle de Cana. Gide, Les Nourritures terrestres,1897, pp. 268-270.

14. Claudel et le christianisme ont vu bien plus profond en pensant que cette éphémère jouissance était la seule possible sur terre. Mais ils ont eu tort d'affirmer pour un au-delà la possession de la joie. C'est qu'ils n'ont pas eu le courage de reconnaître l'illusion qu'était ce bonheur fixe. Le bonheurn'est que cette palpitation précaire de la main tendue vers son bien. Il n'est que cela. J. Rivière, Correspondance[avec Alain-Fournier] 1908, p. 43.

15. Devoir d'être heureux : il n'est pas difficile d'être malheureux ou mécontent; il suffit de s'asseoir, comme fait un prince qui attend qu'on l'amuse; ce regard qui guette et pèse le bonheur comme une denrée jette sur toutes choses la couleur de l'ennui; (...) il est toujours difficile d'être heureux; c'est un combat contre beaucoup d'événements et contre beaucoup d'hommes; il se peut que l'on y soit vaincu; (...) il est impossible que l'on soit heureux si l'on ne veut pas l'être; il faut donc vouloir son bonheur et le faire. Ce que l'on n'a point assez dit, c'est que c'est un devoir aussi envers les autres que d'être heureux. Alain, Propos,1923, p. 472.

17. ... quand tu parles de bonheur, ou bien tu parles d'un état de l'homme qui est d'être heureux comme d'être sain, et je n'ai point d'action sur cette ferveur des sens, ou bien tu parles d'un objet saisissable que je puis souhaiter de conquérir. Et où donc est-il? « Tel homme est heureux dans la paix, tel autre est heureux dans la guerre, tel souhaite la solitude où il s'exalte, tel autre a besoin pour s'en exalter des cohues de fête, tel demande ses joies aux méditations de la science, laquelle est réponse aux questions posées, l'autre, sa joie, la trouve en Dieu en qui nulle question n'a plus de sens. (...) Ainsi t'échappe ce fantôme sans entrailles que vainement tu prétendais saisir. Si tu veux comprendre le mot, il faut l'entendre comme récompense et non comme but, car alors il n'a point de signification. » Saint-Exupéry, Citadelle,1944, pp. 695-696.

par **Rico73** Sam 27 Fév 2016 - 12:39

vous ne prêchez pas un convaincu avec votre paix intérieure...

par leanouk Sam 27 Fév 2016 - 12:49

Rico73 a écrit:vous ne prêchez pas un convaincu avec votre paix intérieure...

le bonheur motive. Plus encore que la satisfaction qu’il apporte, sa première qualité est de nous stimuler. Si nous n’avions pas une vision du bonheur, que ferions-nous ? Il sert d’étalon de mesure à nos désirs, à nos projets et à nos actes, même les plus inconscients.

par Madcat Sam 27 Fév 2016 - 18:23

pour ma part le bonheur c'est juste une question d'équilibre, parfois on trébuche, on tombe,
mais finalement ce n'est pas si grave tant qu'on trouve la force de se relever, ou quelqu'un pour te donner la main.

par hawaiki0689 Dim 28 Fév 2016 - 15:28

Vaste sujet, le bonheur !!! à vous lire, je le comprends encore mieux !! ou moins...

Pour moi, le bonheur, c'est d'être en phase avec soi-même : se coucher le soir "zen" dormir sans avoir de crainte pour le lendemain.
Pas facile, hein ?

Ou alors, pour moi également, c'est de voir en ce moment zhom bricoler, faire des meubles pour notre fils, bouger, vivre !!
Tiens, rien que d'entendre la machine à laver, en ce moment aussi, c'est un bonheur : ça signifie que la maison vit !! et nous avec !

Chacun son truc, sa vision plus ou moins philosophique, mais le bonheur c'est d'être en vie, de communiquer....

Et je rejoins notre "chat fou" : ......."parfois on trébuche, on tombe,
mais finalement ce n'est pas si grave tant qu'on trouve la force de se relever, ou quelqu'un pour te donner la main."

par Moushe Dim 28 Fév 2016 - 16:36

Izibelle a écrit:Euh... tu ne vas tout de même pas me demander de comparer l'apartheid et la ségrégation raciale avec un petit moment difficile que l'on peut traverser dans sa vie ? Si ?

Un petit moment difficile ne remet pas en cause un bonheur…
Si ?

D'un autre côté lorsqu'on parle de l'apartheid, on parle d'une situation où le bonheur est dans l'ordre de l'impossible.
Dans un film, ils expliquaient que même marié, tu ne pouvais pas même espérer vivre, dormir, sous le même toit que ton épouse. C'était un film sur l'Afrique du sud.

Personnellement, je trouve que le bonheur grandit la personne et qu'il y a une gravité, un sérieux, une maturité qui ne se révèle qu'au travers du bonheur.

par Pashmina Dim 28 Fév 2016 - 16:39

Relis le fil, Moushe ...c'était à propos d'un texte, d'une certaine Diane Gagnon (coach de vie)... Very Happy

par Moushe Dim 28 Fév 2016 - 16:40

Oui, j'ai réagi à chaud, peut-être...

par Moushe Dim 28 Fév 2016 - 16:47

bibidochon a écrit:
Rico73 a écrit:le bonheur, tu le payes le prix fort...dès fois, tu passes ta vie à te battre pour le connaitre et au bout du compte , tu l' as juste caresser .

ça c'est le "bonheur matériel", le petit confort de vie, le bonheur est un état d'esprit, une perception, un moment de grâce, même furtif. On le trouve partout, dans le rire d'un enfant, l'envol d'un oiseau, le bruit du vent dans les arbres, un corbeau blanc sur la plage, un petit moment de bien être, il peut bien entendu être durable si on occulte tout ce qui peut l'entraver, en fait il est différent et propre à chacun...on peut même le trouver entre chaque bataille de (ou pour) la vie, le caresser c'est en trouver un bout déjà.

Petit confort de vie… C'est une expression que je trouve absurde et presque odieuse !!

Avant on travaillait comme des bêtes. Juste le temps de manger et de dormir.
Pas de week-end, pas de vacances, pas d'eau chaude, pas de chaudière, à peine de quoi vivre, ou survivre…
Tomber malade ou accoucher, un drame toujours possible !!

par Moushe Dim 28 Fév 2016 - 16:54

Izibelle a écrit:Pour une merveilleuse personne que je viens de découvrir et qui se reconnaîtra
Et pour tous ceux dont les jours manqueraient de couleurs

"Bien que nous sachions que ce soit utopique, nous souhaitons tous vivre une vie heureuse, sans problème et sans souffrance.

Pourtant, c’est souvent nous-mêmes qui alimentons inconsciemment certaines des souffrances que nous éprouvons. Nous ne le faisons pas intentionnellement, bien sûr, mais nous sommes trop souvent esclaves de nos émotions comme la résistance, la colère, la haine, la rancune, la jalousie, la peur, le jugement, la fermeture, et les autres interprétations erronées que l’on se fait à propos des gens et des événements.

En fait, c’est souvent notre résistance à accepter la réalité qui crée notre souffrance. Ainsi, face à cette prémisse, nous avons parfois envie de répondre que notre cas est pire, que ce n’est pas nous qui nous faisons souffrir, que l’enfer c’est les autres, que personne ne nous comprend… On résiste de toutes nos forces à ce qui nous fait mal, à ce qui nous dérange. On juge, on critique, on refuse d’accepter les aléas de la vie s’ils sont contraires à nos attentes. Pourtant, on s’épargnerait bien des souffrances si on acceptait dès maintenant le fait que tout ce qu’on désire n’est pas nécessairement fait pour nous et que tout ce qui nous arrive est précisément ce dont nous avons besoin !

Nous croyons faussement qu’une vie heureuse est une vie sans problème et sans souffrance.

Et pourtant, ceux-ci font partie de la Vie au même titre que la joie et les petits bonheurs : les uns ne vont pas sans les autres. Alors pourquoi résister de toutes nos forces face aux événements qui surviennent? La Vie est une suite de joies et de peines. C’est déprimant? Non, c’est la réalité! Plus tôt dans la vie nous acceptons ce fait, plus tôt nous devenons sereins face aux événements de la Vie.

Notre force se développe en faisant face aux événements difficiles, aux résistances, aux déceptions; elle nous indique aussi quel sera notre niveau de bonheur dans la vie.

Rien ne dure de manière permanente. Tout passe. Alors, apprécions les joies, apprenons des difficultés. Construisons ainsi notre bonheur. Le Bonheur n’arrive pas un jour soudainement dans notre vie: il se construit chaque instant par nos pensées et nos réactions.

Accepter ce qui est, composer avec la réalité, la modifier lorsque c’est possible, changer soi-même pour être plus heureux; c’est ça le secret du bonheur!"

[Diane Gagnon]

C'est de ce texte dont tu parles, Pash.

par Pashmina Dim 28 Fév 2016 - 16:54

Oui...

par hawaiki0689 Dim 28 Fév 2016 - 17:00

"Petit confort de vie…" ben moi, j'adore ! parce qu'on n'a qu'une vie, et autant qu'elle soit confortable au moment présent ! Aimer le moment présent !

Sinon, le temps que tu réfléchisses comment tu aurais aimé que ce jour soit différent, qu'hier soit autrement, à réfléchir comment demain sera, à calculer ce qu'est le bonheur..... ben..... t'es mort..... sans bonheur........ Wink

par Pashmina Dim 28 Fév 2016 - 17:01

par Moushe Dim 28 Fév 2016 - 17:04

Ok mais je reste alors dans mon idée.

Pour moi le bonheur est cette rencontre avec ce qui est fondamental mais pas un évitement de la souffrance, du chagrin.
Exemple, le drame n'est pas la perte de ses parents mais d'avoir encore des parents qui n'ont pas eu d'amour à donner.

Le bonheur est de l'ordre de l'épanouissement affectif.
Les fondamentaux sont de ceux-là et même professionnellement.
On aime ou pas son job. On est heureux ou pas en famille, etc...

par Moushe Dim 28 Fév 2016 - 17:07

hawaiki0689 a écrit:"Petit confort de vie…" ben moi, j'adore ! parce qu'on n'a qu'une vie, et autant qu'elle soit confortable au moment présent ! Aimer le moment présent !

Sinon, le temps que tu réfléchisses comment tu aurais aimé que ce jour soit différent, qu'hier soit autrement, à réfléchir comment demain sera, à calculer ce qu'est le bonheur..... ben..... t'es mort..... sans bonheur........

Un confort de vie, OK mais pourquoi petit…?
Toutes ces générations avant nous, qui ont dû tant se battre pour nous entendre parler d'un petit confort de vie…

En gros, on dit la même chose, je crois.

par leanouk Dim 28 Fév 2016 - 17:08

hawaiki0689 a écrit:"Petit confort de vie…" ben moi, j'adore ! parce qu'on n'a qu'une vie, et autant qu'elle soit confortable au moment présent ! Aimer le moment présent !

Ah! que OUI mais seulement si on ressent le moment agréable

par Pashmina Dim 28 Fév 2016 - 17:16

Je n'ai pas de définition pour ça.... scratch

mais s'il en fallait une, pour faire simple, ce serait une proportion positive de moments où je me sens bien, par rapport aux moments où je me sens mal....

par hawaiki0689 Dim 28 Fév 2016 - 17:19

...."petit" confort de vie…

Mais parce qu'il faut être ambitieux, et alors, ce qui est "petit" aujourd'hui sera "grand" demain ! Wink

Regarder plus haut, toujours plus haut, voir et espérer toujours plus beau, mais en appréciant le moment présent !

ça évite de dégringoler....... Embarassed

plus bas, toujours plus bas...... (y a toujours trop de monde aux urgences...)

par leanouk Dim 28 Fév 2016 - 17:23

bin du coup, je suis plutôt d'accord avec Pash, ça me correspond tout à fait

par Pashmina Dim 28 Fév 2016 - 17:28

On est raisonnables, toutes les deux, hein.... Laughing

par copiercoller Dim 28 Fév 2016 - 17:29

hawaiki0689 a écrit:Sinon, le temps que tu réfléchisses comment tu aurais aimé que ce jour soit différent, qu'hier soit autrement, à réfléchir comment demain sera, à calculer ce qu'est le bonheur..... ben..... t'es mort..... sans bonheur........

Puis ça fait mal à la tête de trop réfléchir. elephant

D'ailleurs Je fais un nœud à mon mouchoir pour me rappeler que j'existe.