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[ARTICLE 03/24] futura-sciences.com : Covid-19 : les adeptes de la cigarette électronique devraient se méfier !
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[ARTICLE 03/24] futura-sciences.com : Covid-19 : les adeptes de la cigarette électronique devraient se méfier !
Il y a des moments où je me demande si nous sommes vraiment bien informés. Et ce n'est pas cet article de Futura Science qui va enlever tous mes doutes. Loin s'en faut.
Futura Sciences nous fait un résumé d'une étude américaine sur la vape et la conséquence de cette dernière sur le COVID-19. Voici ce que l'article assène :
"Les résultats montrent une augmentation significative des marqueurs ACE2 et TMPRSS2, essentiels pour l'infection par le SARS-CoV-2, dans les tissus exposés aux aérosols contenant de la nicotine.
L'étude souligne la complexité de l'interaction entre le vapotage et la susceptibilité au virus, liée à la diversité des e-liquides et des dispositifs de vapotage. Elle appelle à une réglementation plus stricte des produits de vapotage et à la conception de nouvelles études cliniques pour approfondir la compréhension des risques associés. Les chercheurs espèrent que leurs travaux encourageront les vapoteurs à abandonner cette pratique et dissuaderont les non-utilisateurs de commencer, soulignant le lien entre le vapotage et des complications accrues en cas d'infection par la Covid-19, y compris le risque de développer une forme longue de la maladie."
En somme, vaper pourraît accroître les risques de COVID-8=19 et l'intensité. Et, à lire la conclusion, il y a de quoi avoir peur.
Sauf que :
- nous avons eu des études qui concluaient à l'opposé que vaper pouvait protéger du COVID, le propylène ayant des propriétés germicides ;
- Le COVID est quand même aujourd'hui bien moins virulent qu'à son apparition et c'est tant mieux ;
- la façon de réaliser cette étude est contestable puisque les chercheurs n'ont pas comparé le nombre de cas de COVID dans des populations différentes (Vapoteurs, non-vapoteurs) mais en analysant des cellules souches que l'on a exposé à des vapeurs d'aérosols.
Ensuite, parce que l'article a tout de même l'honnêteté de nous donner le lien vers l'étude en question. C'est à découvrir ici. Et si on lit attentivement l'étude, l'impression dégagée n'est pas exactement la même :
"In summary, the human bronchial epithelial and EpiAirway model provides an in vitro analysis technology that closely resembles in vivo exposure in humans and enables a better understanding of the relationship between vaping and COVID-19. Because standard MatTek EpiAirway uses primary epithelium from a single donor, our data can be compared across laboratories and was in good agreement with tissues from three additional donors. Individual ingredients (nicotine, PG/VG, and benzoic acid) influenced SARS-CoV-2 infection of human bronchial epithelial tissues, and benzoic acid, when present, negated the increased infection produced by nicotine and PG/VG. TMPRSS2 activity decreased at the acidic pH of EC aerosols containing benzoic acid, which held infection to clean air control levels for at least 48 h. Many fourth generation ECs use benzoic or other acids that lower aerosol pH, and these may also mitigate nicotine/PG/VG-enhanced infection, which could be tested in future studies. Given the diversity of commercial e-liquids, it is not surprising that prior studies have drawn different conclusions regarding the relationship between vaping and COVID-19 (13–23). Future studies involving organotypic cultures, animals, or humans should separately evaluate groups with and without benzoic or other acids. If low and high pH e-liquids are not studied separately, the data will likely be unclear, and significant effects of vaping will be missed. During heating of e-liquids, metals and reaction products can be added to the aerosols (34–37). It is not yet known how these chemicals affect SARS-CoV-2 infection. Although the flavor chemicals we tested did not alter infection percentage, it is possible that other flavor chemicals would have an effect.
We do not advocate using acid-containing EC products as a prophylactic for avoiding COVID-19; however, if already vaping, then an acid-containing product may help prevent enhanced viral infection caused by nicotine and PG/VG. The long-term effects of inhaling benzoic or other acids in the context of EC aerosol are not known and may have adverse health consequences. Our data will provide EC users with options that may reduce their risk of contracting COVID-19, affect future research studies, be of interest to regulatory agencies, and help improve the design of clinical trials involving the use of tobacco products and SARS-CoV-2 infection."
En français (traduction Google donc cela vaut ce que cela vaut ) :
"En résumé, le modèle épithélial bronchique humain et EpiAirway fournit une technologie d’analyse in vitro qui ressemble beaucoup à l’exposition in vivo chez l’homme et permet une meilleure compréhension de la relation entre le vapotage et le COVID-19. Étant donné que le MatTek EpiAirway standard utilise l'épithélium primaire d'un seul donneur, nos données peuvent être comparées entre laboratoires et étaient en bon accord avec les tissus de trois donneurs supplémentaires. Les ingrédients individuels (nicotine, PG/VG et acide benzoïque) ont influencé l’infection par le SRAS-CoV-2 des tissus épithéliaux bronchiques humains, et l’acide benzoïque, lorsqu’il est présent, a annulé l’infection accrue produite par la nicotine et le PG/VG. L'activité de TMPRSS2 a diminué au pH acide des aérosols EC contenant de l'acide benzoïque, ce qui a maintenu l'infection aux niveaux de contrôle de l'air pur pendant au moins 48 h. De nombreux EC de quatrième génération utilisent des acides benzoïques ou autres qui abaissent le pH des aérosols, et ceux-ci peuvent également atténuer les infections renforcées par la nicotine/PG/VG, ce qui pourrait être testé dans de futures études. Compte tenu de la diversité des e-liquides commerciaux, il n’est pas surprenant que des études antérieures aient tiré des conclusions différentes concernant la relation entre le vapotage et le COVID-19 (13-23). Les futures études impliquant des cultures organotypiques, des animaux ou des humains devraient évaluer séparément les groupes avec et sans acides benzoïques ou autres. Si les e-liquides à pH faible et élevé ne sont pas étudiés séparément, les données ne seront probablement pas claires et les effets significatifs du vapotage passeront inaperçus. Pendant le chauffage des e-liquides, des métaux et des produits de réaction peuvent être ajoutés aux aérosols (34-37). On ne sait pas encore comment ces produits chimiques affectent l’infection par le SRAS-CoV-2. Bien que les arômes chimiques que nous avons testés n’aient pas modifié le pourcentage d’infection, il est possible que d’autres arômes chimiques aient un effet.
Nous ne préconisons pas l’utilisation de produits EC contenant de l’acide prophylactique pour éviter le COVID-19 ; cependant, si vous vapotez déjà, un produit contenant de l'acide peut aider à prévenir une infection virale accrue causée par la nicotine et le PG/VG. Les effets à long terme de l'inhalation d'acides benzoïques ou d'autres acides dans le contexte d'aérosols EC ne sont pas connus et peuvent avoir des conséquences néfastes sur la santé. Nos données offriront aux utilisateurs d'EC des options susceptibles de réduire leur risque de contracter le COVID-19, d'affecter les études de recherche futures, d'intéresser les agences de réglementation et d'aider à améliorer la conception des essais cliniques impliquant l'utilisation de produits du tabac et du SRAS-CoV. 2 infections."
En somme :
- selon cette étude, la nicotine, le propylène et le glycérol pourraient augmenter le risque de COVID ainsi que les effets de ce dernier. Du coup, il y a des chances que cela ne concerne pas que les vapoteurs. Que je sache, les fumeurs aussi prennent de la nicotine ! ;
- l'étude semble indiquer que l'utilisation de liquide contenant de l'acide benzoïque pourrait aider à prévenir l'infection. Les auteurs énoncent tout de même qu'ils ne conseillent pas de prendre ce genre de liquide. Moi non plus d'ailleurs. Qui souhaiterait vaper des liquides avec de l'acide benzoïque ? En tout cas, l'étude a l'avantage de nous montrer que, décidément, plus le temps passe et plus certains fabricants ajoutent vraiment n'importe quoi dans les liquides. Que cela puisse contenir le COVID, soit, mais cela n'inaugure rien de bon sur les effets à long terme ;
- surtout l'étude ne dit pas que les vapoteurs devraient arrêter la vape : "nos données offriront aux utilisateurs d'EC des options susceptibles de réduire leur risque de contracter le COVID-19". Le message de l'étude est donc bien différent et plus prudent que celui de Futura Sciences.
Je signale enfin à Futura Sciences que les "adeptes de la cigarette électronique" ne le sont pas sans raison. Ce sont avant tout des fumeurs et des fumeuses qui tentent de trouver le moyen le plus efficace pour arrêter le tabac. Le tabac est la première cause de mortalité évitable dans le monde. Elle tue prématurément chaque année quelques 70000 personnes rien qu'en France. Je trouve stupéfiant qu'un site comme Futura Sciences oublie ce léger détail.
En même temps, si on regarde la fiche de la journaliste ayant bâclé son article, on pourrait avoir quelques débuts d'explication. On apprend que la journaliste est un doctorat en pharmacie et qu'elle a travaillé dans l'industrie pharmaceutique. OK. A mon sens, ce n'est donc pas une journaliste. Mais une vendeuse de patchs. C'est plus clair comme cela !
Bonne vape.
Futura Sciences nous fait un résumé d'une étude américaine sur la vape et la conséquence de cette dernière sur le COVID-19. Voici ce que l'article assène :
"Les résultats montrent une augmentation significative des marqueurs ACE2 et TMPRSS2, essentiels pour l'infection par le SARS-CoV-2, dans les tissus exposés aux aérosols contenant de la nicotine.
L'étude souligne la complexité de l'interaction entre le vapotage et la susceptibilité au virus, liée à la diversité des e-liquides et des dispositifs de vapotage. Elle appelle à une réglementation plus stricte des produits de vapotage et à la conception de nouvelles études cliniques pour approfondir la compréhension des risques associés. Les chercheurs espèrent que leurs travaux encourageront les vapoteurs à abandonner cette pratique et dissuaderont les non-utilisateurs de commencer, soulignant le lien entre le vapotage et des complications accrues en cas d'infection par la Covid-19, y compris le risque de développer une forme longue de la maladie."
En somme, vaper pourraît accroître les risques de COVID-8=19 et l'intensité. Et, à lire la conclusion, il y a de quoi avoir peur.
Sauf que :
- nous avons eu des études qui concluaient à l'opposé que vaper pouvait protéger du COVID, le propylène ayant des propriétés germicides ;
- Le COVID est quand même aujourd'hui bien moins virulent qu'à son apparition et c'est tant mieux ;
- la façon de réaliser cette étude est contestable puisque les chercheurs n'ont pas comparé le nombre de cas de COVID dans des populations différentes (Vapoteurs, non-vapoteurs) mais en analysant des cellules souches que l'on a exposé à des vapeurs d'aérosols.
Ensuite, parce que l'article a tout de même l'honnêteté de nous donner le lien vers l'étude en question. C'est à découvrir ici. Et si on lit attentivement l'étude, l'impression dégagée n'est pas exactement la même :
"In summary, the human bronchial epithelial and EpiAirway model provides an in vitro analysis technology that closely resembles in vivo exposure in humans and enables a better understanding of the relationship between vaping and COVID-19. Because standard MatTek EpiAirway uses primary epithelium from a single donor, our data can be compared across laboratories and was in good agreement with tissues from three additional donors. Individual ingredients (nicotine, PG/VG, and benzoic acid) influenced SARS-CoV-2 infection of human bronchial epithelial tissues, and benzoic acid, when present, negated the increased infection produced by nicotine and PG/VG. TMPRSS2 activity decreased at the acidic pH of EC aerosols containing benzoic acid, which held infection to clean air control levels for at least 48 h. Many fourth generation ECs use benzoic or other acids that lower aerosol pH, and these may also mitigate nicotine/PG/VG-enhanced infection, which could be tested in future studies. Given the diversity of commercial e-liquids, it is not surprising that prior studies have drawn different conclusions regarding the relationship between vaping and COVID-19 (13–23). Future studies involving organotypic cultures, animals, or humans should separately evaluate groups with and without benzoic or other acids. If low and high pH e-liquids are not studied separately, the data will likely be unclear, and significant effects of vaping will be missed. During heating of e-liquids, metals and reaction products can be added to the aerosols (34–37). It is not yet known how these chemicals affect SARS-CoV-2 infection. Although the flavor chemicals we tested did not alter infection percentage, it is possible that other flavor chemicals would have an effect.
We do not advocate using acid-containing EC products as a prophylactic for avoiding COVID-19; however, if already vaping, then an acid-containing product may help prevent enhanced viral infection caused by nicotine and PG/VG. The long-term effects of inhaling benzoic or other acids in the context of EC aerosol are not known and may have adverse health consequences. Our data will provide EC users with options that may reduce their risk of contracting COVID-19, affect future research studies, be of interest to regulatory agencies, and help improve the design of clinical trials involving the use of tobacco products and SARS-CoV-2 infection."
En français (traduction Google donc cela vaut ce que cela vaut ) :
"En résumé, le modèle épithélial bronchique humain et EpiAirway fournit une technologie d’analyse in vitro qui ressemble beaucoup à l’exposition in vivo chez l’homme et permet une meilleure compréhension de la relation entre le vapotage et le COVID-19. Étant donné que le MatTek EpiAirway standard utilise l'épithélium primaire d'un seul donneur, nos données peuvent être comparées entre laboratoires et étaient en bon accord avec les tissus de trois donneurs supplémentaires. Les ingrédients individuels (nicotine, PG/VG et acide benzoïque) ont influencé l’infection par le SRAS-CoV-2 des tissus épithéliaux bronchiques humains, et l’acide benzoïque, lorsqu’il est présent, a annulé l’infection accrue produite par la nicotine et le PG/VG. L'activité de TMPRSS2 a diminué au pH acide des aérosols EC contenant de l'acide benzoïque, ce qui a maintenu l'infection aux niveaux de contrôle de l'air pur pendant au moins 48 h. De nombreux EC de quatrième génération utilisent des acides benzoïques ou autres qui abaissent le pH des aérosols, et ceux-ci peuvent également atténuer les infections renforcées par la nicotine/PG/VG, ce qui pourrait être testé dans de futures études. Compte tenu de la diversité des e-liquides commerciaux, il n’est pas surprenant que des études antérieures aient tiré des conclusions différentes concernant la relation entre le vapotage et le COVID-19 (13-23). Les futures études impliquant des cultures organotypiques, des animaux ou des humains devraient évaluer séparément les groupes avec et sans acides benzoïques ou autres. Si les e-liquides à pH faible et élevé ne sont pas étudiés séparément, les données ne seront probablement pas claires et les effets significatifs du vapotage passeront inaperçus. Pendant le chauffage des e-liquides, des métaux et des produits de réaction peuvent être ajoutés aux aérosols (34-37). On ne sait pas encore comment ces produits chimiques affectent l’infection par le SRAS-CoV-2. Bien que les arômes chimiques que nous avons testés n’aient pas modifié le pourcentage d’infection, il est possible que d’autres arômes chimiques aient un effet.
Nous ne préconisons pas l’utilisation de produits EC contenant de l’acide prophylactique pour éviter le COVID-19 ; cependant, si vous vapotez déjà, un produit contenant de l'acide peut aider à prévenir une infection virale accrue causée par la nicotine et le PG/VG. Les effets à long terme de l'inhalation d'acides benzoïques ou d'autres acides dans le contexte d'aérosols EC ne sont pas connus et peuvent avoir des conséquences néfastes sur la santé. Nos données offriront aux utilisateurs d'EC des options susceptibles de réduire leur risque de contracter le COVID-19, d'affecter les études de recherche futures, d'intéresser les agences de réglementation et d'aider à améliorer la conception des essais cliniques impliquant l'utilisation de produits du tabac et du SRAS-CoV. 2 infections."
En somme :
- selon cette étude, la nicotine, le propylène et le glycérol pourraient augmenter le risque de COVID ainsi que les effets de ce dernier. Du coup, il y a des chances que cela ne concerne pas que les vapoteurs. Que je sache, les fumeurs aussi prennent de la nicotine ! ;
- l'étude semble indiquer que l'utilisation de liquide contenant de l'acide benzoïque pourrait aider à prévenir l'infection. Les auteurs énoncent tout de même qu'ils ne conseillent pas de prendre ce genre de liquide. Moi non plus d'ailleurs. Qui souhaiterait vaper des liquides avec de l'acide benzoïque ? En tout cas, l'étude a l'avantage de nous montrer que, décidément, plus le temps passe et plus certains fabricants ajoutent vraiment n'importe quoi dans les liquides. Que cela puisse contenir le COVID, soit, mais cela n'inaugure rien de bon sur les effets à long terme ;
- surtout l'étude ne dit pas que les vapoteurs devraient arrêter la vape : "nos données offriront aux utilisateurs d'EC des options susceptibles de réduire leur risque de contracter le COVID-19". Le message de l'étude est donc bien différent et plus prudent que celui de Futura Sciences.
Je signale enfin à Futura Sciences que les "adeptes de la cigarette électronique" ne le sont pas sans raison. Ce sont avant tout des fumeurs et des fumeuses qui tentent de trouver le moyen le plus efficace pour arrêter le tabac. Le tabac est la première cause de mortalité évitable dans le monde. Elle tue prématurément chaque année quelques 70000 personnes rien qu'en France. Je trouve stupéfiant qu'un site comme Futura Sciences oublie ce léger détail.
En même temps, si on regarde la fiche de la journaliste ayant bâclé son article, on pourrait avoir quelques débuts d'explication. On apprend que la journaliste est un doctorat en pharmacie et qu'elle a travaillé dans l'industrie pharmaceutique. OK. A mon sens, ce n'est donc pas une journaliste. Mais une vendeuse de patchs. C'est plus clair comme cela !
Bonne vape.
Franck- Admin
- Commentaires : je mords souvent et, en plus j'ai la rage, mais je ne suis pas méchant.
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Date d'inscription : 23/05/2009
Re: [ARTICLE 03/24] futura-sciences.com : Covid-19 : les adeptes de la cigarette électronique devraient se méfier !
Franck a écrit:En même temps, si on regarde la fiche de la journaliste ayant bâclé son article, on pourrait avoir quelques débuts d'explication. On apprend que la journaliste est un doctorat en pharmacie et qu'elle a travaillé dans l'industrie pharmaceutique. OK. A mon sens, ce n'est donc pas une journaliste. Mais une vendeuse de patchs. C'est plus clair comme cela !
Bonne vape.
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DMar- Brume (contributeur installé)
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