la vidéo de la conférence sur la e-cig

Pfiou, ça a été nettement plus compliqué que prévu, mais ça y est!
La vidéo est donc sur megaupload (pas encore dispo à l'heure où j'écris ces lignes, mais ça ne devrait plus tarder), ici: http://www.megaupload.com/?d=ZWCC7XI2

Elle fait 500 et quelques mégas, et elle est en m4v. Je ne sais pas si tous les programmes peuvent le lire, mais je sais que VLC le lit sans problème, et il peut être téléchargé ici gratuitement (et légalement hein ): http://www.videolan.org/vlc/

Voilou, bon visionnage!

EDIT: pour info, j'ai juste réussi à coller les différentes séquences, mais pas réussi à couper des morceaux... J'aurai par exemple beaucoup aimé pouvoir couper entre chaque intervention pour ajouter le titre de la communication et le nom du communiquant, mais pas moyen, mon ordi n'est plus aussi performant qu'à ses débuts...

[MODERATION] Ce fil de discussion est la suite d'un sujet que vous trouverez ici. Bonne lecture et bon visionnage. Franck

VLC c'est le lecteur a avoir absolument ça lit n'importe quoi !

Merci Nib !

C'est ça! Je le conseille absolument à tout le monde!!!

Pffooo !! t'es vilain toi !
mais ne t’ayant pas encore vu, je te souhaite la bienvenue sul fofo des vapoteurs les plus cool du net. si, si ...

Merci Nib de travailler un dimanche pour la communauté

nib a écrit:Bonjour tout le monde

Salut et merci de cette mise à disposition publique !

Merci nib pour ton travail
Je vais visionner tout ça. J'ai commencé à regarder les 30 premières minutes et je dois dire qu'il y a matière à débat

Ce sont les 30 premières minutes qui suscitent le plus de questions quant à la connaissance qu'ont les médecins de la cigarette électronique et du e-liquide....

Oui, c'est ça, twist

Sinon, je viens de créer un fil exprès afin que l'on puisse retrouver facilement cette vidéo par la suite et qu'elle ne soit pas perdue en page 6 ou 7 du fil précédent, ce que je trouvais dommage. J'espère que cette création ne perturbera pas trop

En complément de cette vidéo, voici le compte rendu de cette conférence qui m'a été transmis par le Professeur Coudert :

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Cette soirée a été animée par 5 intervenants :

Le Pr. Jean COUDERT, Président du Comité Régional AUVERGNE contre les Maladies Respiratoires et le Tabagisme, initiateur de ce débat qu’il a présidé, animé et conclu, le Pr. Denis CAILLAUD, chef du service de pneumologie du Centre Hospitalier et Universitaire de CLERMONT-FERRAND, qui est intervenu en tant que modérateur et trois médecins spécialistes tabacologues et addictologues, travaillant sur des sites géographiques différents (Roanne, Clermont-Ferrand et Lyon) et sur un thème commun : la lutte antitabagique :
1-Le Dr. Gérard MATHERN, Président de l’Institut Régional Rhône-Alpes-Auvergne de Tabacologie (IRRAT) :
il fit un exposé parfaitement actualisé sur les cigarettes électroniques, actuellement sur le marché français.
2- Le Dr. Phuk N’GUYEN, addictologue et tabacologue du Centre Hospitalier Régional de ROANNE :
il fit part de son expérience sur l’intérêt éventuel de la cigarette électronique dans le but d’arrêter ou de réduire la consommation de tabac.
3- Le Dr. Jean PERRIOT, membre et le référent en tabacologie du comité régional AUVERGNE contre les Maladies Respiratoires et le Tabagisme et directeur du dispensaire Emile ROUX de CLERMONT-FERRAND :
Il a abordé la place de la cigarette électronique dans l’arsenal de l’aide à l’arrêt chez le « fumeur difficile ».

Le Pr. Jean COUDERT a souhaité ouvrir publiquement ce débat en justifiant le choix du thème : nous sommes de plus en plus sollicités par le public auquel, en l’état actuel, nous avons quelques difficultés à répondre à leurs questions concernant la cigarette électronique.

Les démarches publicitaires explosent et incitent le consommateur à comparer l’usage de la cigarette électronique par rapport à la cigarette traditionnelle : son utilisation est moins couteuse et l’absence de « fumée, saturée de produits toxiques, responsables des principaux effets nocifs du tabac » (Intoxication par le monoxyde de carbone, Cancers broncho-pulmonaires, Broncho-pneumopathie Chronique Obstructive, maladies cardio-vasculaires …ect) les incitent à s’interroger au sujet de l’éventuelle innocuité de ce nouveau produit qui a remplacer la fumée par un brouillard de vapeur d’eau.

La mise en garde de l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (AFSSAPS) ne permet pas de résoudre le problème. Le produit se vend de plus en plus (soit chez le buraliste, soit par internet).

A côté des formes qui contiennent des doses de concentrations variables de nicotine, il existe des cigarettes sans nicotine : 40% de gros fumeurs, ayant besoin de maintenir le geste, tout en essayant d’arrêter le tabac, souhaiteraient pouvoir l’utiliser. Mais l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) n’existe pas en France.

Les fumeurs potentiellement « passifs », ainsi que quelques membres de l’ « association du droit des non fumeurs » souhaiteraient également que leur utilisation fût autorisée.

D’où la nécessité, à son avis, d’ouvrir ce débat, dont les conclusions sont destinées à être transmises au niveau national, afin d’aboutir éventuellement à un rapport à soumettre au Sénat.

Les exposés successifs ont été extrêmement documentés :
On retiendra qu’aucun des intervenants, tout en relativisant la place de la cigarette électronique dans le cadre du sevrage anti tabagique, n’a condamné son utilisation ou proscrit son usage dans certaines conditions.
Bien sûr, le Dr. MATHERN a, à plusieurs reprises, insisté sur l’absence de contrôle de qualité sur ces cigarettes électroniques fabriquées dans l’immense majorité des cas, dans le sud-est asiatique.
Le Dr. N’GUYEN a longuement évoqué, à ce sujet, l’utilisation de l’« inhaleur » : considéré comme un médicament et, dans une certaine mesure, comme un précurseur de la cigarette électronique : il répond, d’après lui, à une phase intermédiaire pouvant précéder l’arrêt.
La cigarette électronique pourrait également jouer ce rôle de produit de transition, pour quelques semaines, quelques mois, plus rarement, pour plusieurs années.
Le Dr. PERRIOT a rappelé, au sujet du sevrage, tout l’intérêt des méthodes classiques, telles que les Thérapies Cognitivo- Comportementales (TCC) et nicotiniques de substitution (TNS) : Bupropion, Varénicline …ect.
Il fit une synthèse de la littérature la plus récente (6 Publications), faisant état de la difficulté à appréhender l’intérêt de cette nouvelle offre qui se présente sur le marché.

Le débat qui a suivi, a mis en évidence toutes les incertitudes qui restent à lever :
1- On ne peut répondre à la question : quantité de cigarettes électroniques actuellement vendues ?
2- Interdiction de vente dans les pharmacies soulevant notamment leur utilisation dans le cadre de mise en place de protocoles de sevrage.
3- Quantité de nicotine dans le sang lors de l’utilisation de tels produits.
4- Peut-on mesurer la température des constituants lors de la combustion.
5- Que peut-on conseiller dans les cas difficiles soulevés chez la femme enceinte.
6- Peut-on s’en servir en alternance, notamment chez les patients présentant d’importants troubles psychiques.
7- Devant la grande variété des produits offerts sur le marché (sur le net, en particulier), nécessité d’établir des normes.

Le Dr. PERRIOT insiste sur l’intérêt d’avoir une large gamme d’outils, étant donné qu’en matière de sevrage anti tabagique, les statistiques mettent en évidence qu’il ne faut « surtout pas rater les premiers mois ».

En tous cas, affaire à suivre et études complémentaires à réaliser sans repousser définitivement ce nouvel outil, mais nécessité d’évaluer d’éventuels risques potentiels à plus ou moins long terme.
Durant tout le débat, une vidéo a été réalisée avec l’intention de pouvoir la diffuser le plus largement possible.
La séance a été levée à 22h30.
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Il est vrai que le Dr Mathern a soulevé le problème de traçabilité et de contrôle des produits que nous utilisons. En revanche, les produits qu'il montrait et la composition des liquides qu'il présentait ne semblaient par correspondre entièrement à ce que nous connaissons (la probabilité que des substances non désirées se trouvent dans nos liquides n'est pas nulle toutefois). Pour nos liquides il s'agit clairement de savoir si nos atomiseurs produisent suffisamment de chaleur pour rendre la GV toxique. La question de l'utilisation prolongée de PG c'est pas résolu ni même entrevue.

Merci aux "meneurs" pour ces Feedbacks !

Franck a écrit:
J'espère que cette création ne perturbera pas trop

Absolument pas, au contraire

Mais je tiens à préciser que c'est un travail d'équipe entre Touffik, Twist, les intervenants, Den'Ice (je crois que c'était toi) qui était en contact avec le Pr. Coudert et tout et tout hein. Rendons à César ce qui appartient à César En résumé (et en toute humilité): Vive nous quoi!

Par ailleurs, je rejoins Twist, j'avoue que j'aimerai beaucoup des études sur le fait de savoir s'il y a un risque dans nos systèmes que la GV se transforme en... je ne me souviens plus du nom, à l'aide en tous cas un truc pas cool qui se finit par "-oïde"
J'avoue que je suis vraiment curieux sur les effets sanitaires de nos e-cigs, mais en même temps un peu flippé que les conclusions des études soient interprétés absolument n'importe comment (et surtout interprétés économiquement...) et que ça devienne interdit (ben oui, des gens qui fument des vraies clopes c'est bien mieux pour l'économie à tout niveau...). Je reste toutefois convaincu que pour ma santé ça ne peut pas être pire que la clope, au pire c'est pareil (mais j'en doute fortement)!

*excusez le léger HS *

Bon alors, je viens de visionner cette conférence d'une heure et demie et évidemment, j'invite tout le monde à en faire autant. Merci à nos membres qui nous ont permis de découvrir cette conférence comme si nous y étions et merci à Den'ice qui a fournit un excellent travail et étant en contact avec les acteurs, notamment le Pr COUDERT.

Quelques réflexions sur le grill :

A ma connaissance, c'est la première fois qu'en France une telle conférence réunissant des professeurs et des médecins avait pour thème la cigarette électronique. De plus, le forum a été invité et, via ses membres, a pu participer, je suis donc ravi et j'espère que ce lien entre professionnels de la santé et vapoteurs continuera et que les échanges pourront continuer à avoir lieu. Je le souhaite en tout cas

Malgré quelques imprécisions de ci de là, il y a eu des interventions intéressantes et une volonté d'être informatif. Je ne peux que saluer cette démarche.

On peut constater que la cigarette électronique rencontre de plus en plus de succès et que le milieu médical y est de plus en plus confronté, ne serait-ce que par les questions posées par les patients.

Les intervenants ne sont pas hostiles à la e-cig à première vue et certains d'entre eux sont même prêts éventuellement à l'inclure dans leur traitement. Bon, si j'ai bien compris, ce n'est pas pour tout de suite, hein
Même s'ils ont des doutes, des questionnements sur la toxicité éventuelle, ils pensent qu'elle peut, dans certains cas bien précis, être éventuellement utilisée, notamment chez les fumeurs bien accrocs.
Enfin, j'ai noté le questionnement du Dr. MATHERN notamment sur la présence éventuelle du substances cancérigènes que la FDA aurait trouvé dans certains liquides, comme les nitrosamines par exemple.

Néanmoins, je pense que la plupart n'ont pas perçu tout le problème et tout l'enjeu.

Ils raisonnent toujours en faisant référence à leurs outils : les méthodes traditionnelles et les médicaments. Ils n'envisagent dans un avenir lointain l'emploi de la e-cig que si elle est associée aux médicaments classiques.

C'est particulièrement frappant dans l'intervention du Dr. PERRIOT qui ne raisonne que par l'emploi de médocs, même chez les fumeurs qui ne sont pas motivés pour arrêter. Si, si
Il ne lui est pas venu à l'esprit le cas de ceux qui arrêtent le tabac sans aucun substitut. Oui, cela existe, Docteur.
Il a aussi oublié d'autres méthodes alternatives qui, pour certains, semblent donner des résultats, comme l'acupuncture par exemple ou le phénoménal succès du livre d'Allen Carr.
Quant à nous, nous montrons que l'on peut se passer du tabac uniquement avec la cigarette électronique sans avoir recours à aucun autre médicament. Même des gros fumeurs y arrivent. Pourquoi dès lors devrions-nous prendre des boîtes de comprimés pour arrêter le tabac ?
On peut donc arrêter de fumer sans passer par la case "médecin" ou "laboratoire pharmaceutique".

Enfin, les intervenants ont constaté que les utilisateurs de cigarettes électroniques ne venaient pas spécialement les voir. En effet. Mais c'est peut-être ce qui explique le succès chez certains utilisateurs. On a pas la "pression" du médecin qui vous scrute ou un calendrier à respecter. On choisit son kit, on prend son temps, on gère son truc comme on veut et comme on peut. De plus, on le gère sans avoir l'impression d'être un malade. Mieux même, avec les différents parfums ou les différents kits, on peut même y prendre du plaisir et se faire plaisir.

Bonsoir, je viens de regarder la vidéo et je tiens déjà à féliciter ceux qui ont eu cette bonne idée de faire cette vidéo.
Il est dommage que le son soit si mauvais car on a du mal à suivre toute la conférence sans devoir faire un effort pour suivre ce qui est dit. Malgré tout je salue l'initiative de ceux qui ont pris de leur temps pour mettre en place cette vidéo, qui ont pris de leur temps personnel et surtout qui font partager à tout ce forum ce qui s'est lors de cette soirée.
Comme il a été dit, c'est la première fois qu'une soirée est consacrée à l'e-cigarette.
Dr NGUYEN

PS: Je suis moi même un fervent utilisateur d'Internet et des forums, je passerai de temps à autre pour répondre à des questions s'il y en a surtout ce soir et dans la semaine. J'enverrai le lien de cette discussion à J. PERRIOT et G. MATHERN en espérant qu'ils participent à ce fil de discussion.

Merci pour votre intervention lors de cette conférence, Docteur, et je vous souhaite la bienvenue ici

Bonsoir Dr NGUYEN!

Il y a un point qu'il faudrait que je regarde à nouveau. Lorsque le Dr Perriot Parle d'une étude ou l'arrêt du tabac par la cigarette électronique montre les mêmes résultats (en termes de pourcentage d'arrêt au bout d'une certaine période) que les meilleures méthodes des tabacologue (médicament et substituts nicotinique). Là, il semble minimiser ce résultat et je ne sais pas trop pourquoi en fin de compte! Peut être pourrez vous nous éclairer sur ce point!

Les études qui évaluent les médicaments il y en a beaucoup mais pour valider des études sur des nouveaux traitements, il en faut plusieurs. J'imagine que c'est la raison qui explique la minimisation du Dr. PERRIOT, mais cela n'est que mon interprétation

Ah oui, tutoiement de rigueur sur le forum. Je ne fais pas exception

Merci pour la réponse c'est ce à quoi je pensais. Ce qui "choque" justement bon nombre de vapoteurs c'est justement le passage de l'ecig dans le domaine médical. Un paradoxe entre le désir de savoir ce qu'il en est pour la santé et la médicalisation de notre moyen de substitution. L'aspect hédoniste de l'ecig s'en trouverait peut être menacé et je pense que c'est ce qui explique en partie le succès de la cigarette électronique avec le libre choix de ce moyen de substitution. Oui tu as raison pour le tutoiement, comme quoi le statut joue aussi dans le monde virtuel

Je viens de terminer le visionnage de cette vidéo et, tout comme Franck, j'invite tout le monde à en faire autant.
Je ne vais pas reprendre point par point l'analyse qu'en a fait notre bien aimé admin mais je ne peux qu'en plussoyer les termes
Je plussoie également grandement cette remarque :

twist a écrit:...
Ce qui "choque" justement bon nombre de vapoteurs c'est justement le passage de l'ecig dans le domaine médicale. Un paradoxe entre le désir de savoir ce qu'il en est pour la santé et la médicalisation de notre moyen de substitution. L'aspect hédoniste de l'ecig s'en trouverais peut être menacé et je pense que c'est ce qui explique en partie le succès de la cigarette électronique avec le libre choix de ce moyen de substitution.
...

PS : Bienvenue par ici Docteur
PS2 : J'ai transmis le lien de la vidéo au Professeur Coudert comme il l'avait demandé.
PS3 : Désolé de cette intervention ou je me contente de plussoyer . Je

Des conférences des initiatives de ce genre c'est bien, c'est même très bien. Mais à quand une étude sérieuse ? Parler se poser des questions ok, bien que certains intervenants semblent camper sur leurs positions. La e cig il y a quelque temps c'était le joujou de quelques illuminés, mais l'objet se démocratise et il fleurit un peu partout sur la toile de nouvelles boutique. Pourquoi ? Parce qu'il y a un marché à prendre. Il existe ou existera certainement dans le lot des apprentis sorciers, des charlatans.
Alors au lieu de regarder tout ça de bien haut dans vos tours d'ivoire messieurs les scientifiques, agissez. Il en va de la santé des français

Les scientifiques ont besoin de financement pour faire leurs études. Je crois qu'il faut plus solliciter les laboratoires pharmaceutiques plutôt ;-)

L'hypothèse d'une commercialisation de ecig et de liquide par les labo n'est donc pas invraisemblable si ils financent des études???!!!?

Franck a écrit :

On a pas la "pression" du médecin qui vous scrute ou un calendrier à respecter. On choisit son kit, on prend son temps, on gère son truc comme on veut et comme on peut. De plus, on le gère sans avoir l'impression d'être un malade. Mieux même, avec les différents parfums ou les différents kits, on peut même y prendre du plaisir et se faire plaisir.

Franck, il y a un paramètre qui me semble important a évoqué, c'est l'importance des forums et notamment le notre (soyons chauvins),
nous y trouvons des conseils, des soutiens un esprit de groupe, une cohésion qui ne peut qu'être favorable à la réussite d'une transition tabac / ecig.

De plus, nous avons pratiquement tous un compteur journalier qui est garant de notre engagement dans cette "aventure".

Il serait d'ailleurs intéressant, de faire un sondage, notamment après de ceux qui "ont fait le saut" depuis plusieurs mois,
sur l'importance du ou des forums dans leur réussite.